Ouvert le 10 août en Angleterre, le procès de Benjamin Mendy a été rythmé par une très longue introduction du procureur. Le magistrat a livré des précisions glaçantes sur les viols présumés dont est accusé le footballeur.
Cette affaire est un procès spécialement attendu. Accusé de huit viols, tentatives de viols et agressions sexuelles entre 2018 et 2021 par sept femmes, Benjamin Mendy se retrouve face à la justice. Confronté à lui, le procureur Timothy Cray n’a pas fait dans la dentelle et a énuméré les accusations portées par les présumées victimes.
Lors de son discours au tribunal de Chester, le procureur est par ailleurs revenu sur certains éléments concernant Benjamin Mendy et son coaccusé Louis Saha Mature, responsable de chercher des femmes pour lui tenir compagnie lors de fêtes données dans son manoir de Prestbury dans le Cheshire, près de Manchester.
Conduites dans cette grande maison reculée, ces présumées victimes se retrouvaient dans un environnement où elles ont pu « être violées et agressées sexuellement« , relate Timothy Cray, qui présente le footballeur de 28 ans comme un « prédateur » sexuel, rapporte RMC Sport.
En effet, l’ancien champion du monde et son aide auraient ciblé des jeunes femmes « ivres« , qui ne réussissaient pas à s’échapper du domicile du sportif. Elles étaient alors jugées « jetables » et comme « des choses à utiliser pour le sexe, puis à jeter« .
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Au sein de la villa de Benjamin Mendy se cachait une pièce, appelée « panic room« , qui était le lieu de « viols« , selon le procureur. Un élément utilisé lors du procès pour mettre en lumière le réel « système » mis en place par les deux accusés.
Une porte, par exemple, avait une sécurité spéciale et ne pouvait être débloquée de l’intérieur que par Benjamin Mendy, le seul à savoir défaire la serrure.
Les témoignages des victimes présumées racontent un viol sous la douche en 2018, un autre dans la salle de cinéma de Benjamin Mendy et un autre encore lors d’une fête dans son hôtel particulier.
Une deuxième femme aurait été violée cette nuit-là. Elle se serait réveillée à plat ventre sur un canapé, les bras maintenus dans le dos par le footballeur qui lui ordonnait : « Ne bouge pas, ne bouge pas. »
À ce jour, Benjamin Mendy nie toutes les accusations portées contre lui. S’il est reconnu coupable, le footballeur risque la prison à vie.
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Non mais sérieux je crois rever … le mec a peter un plomb ! Quel enc…….